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    Dans ma nourriture spirituelle parfois je me perds
    Et le gain ou son appel m'éloigne de mes pères


    Qu'en est il de l'écrit sain?

    Ainsi le ton de ma lettre est donné
    Vous entrez dans cet espace ouvert
    Mais de titre catégorique je n'ai su lui donner

    Au creux d'un livre bien calée je me penche
    Je lis encore je réfléchis et je m'épanche

    je lis le moment présent et je lie le futur qui m'attend
    Une réflexion s'impose je me souviens d'antan

    La voie de l'écrivain toute tracée nous conduit comme un train sur des rails
    La voix de l'écrivain est tassée au fond d'un train prenons garde qu'il ne déraille.

    La force de l'écrit est nourrit de tris
    La force de l'esprit périt sous tant de cris

    Je dévoile mon âme ....
    on crie au drame...

    Que faire?

    Il y a des traces qui s'effacent
    Il y a des pas qui trépassent
    Je ne suis plus en liesse
    Je ne suis que détresse

    Aussi je réfléchis à la vie et à son absurdité
    Aussi je réfléchis une image totalement imitée

    Quel moi suis-je ?
    Quel mois sommes nous?

    Plus d'émoi que des doutes

    Vite une solution
    Vite une aberration

    La guérison serait dans la cérémonie...

    On prend le voile de la religion
    D'autres prennent le sens de la légion

    Mais si je ne m'abuse vous n'êtes point de ma région?!

    Pourtant à force d'écrire un recoin intime de l'écran nous lie
    Pourtant à force de vous lire je sens bien que ma joie se délie

    j'ai cru si souvent que nous étions amis
    J'ai pensé si fort à tord

    Et de spiritualités traditionnelles
    aux écrits intemporels

    Le chemin tend à sa fin
    Non... je n'ai plus très faim

    Tels des disciples nous connaissons l'illumination
    Tels des disciples nous veillons sans mauvaise intention

    Disciples de qui ? si j'avais su
    Disciples pourquoi? qu'ai je reçu

    Gardez vous loin de lui s'il communie
    Eloignez vous de la nuit sitôt qu'il nie

    Tout écrit doit être lu celui ci le sera
    Tout est cri

    Je pousse la voix , je cherche ma voie
    Je m'égare dans les dédales des pages
    Je reprends pied je récupère un convoi
    Je suis témoin d'un dérapage

    Comment faire....Je freine
    Comment résister..avec la haine

    Ai-je bouclé la boucle de ma pensée
    j'ai mal ..alors je suis mal pansée

    Je vous ai embrouillé
    à vous de vous débrouiller

    On m'a bafoué j'ai répondu
    L'usage du fouet est révolu

    L'attrait d'une guerre des mots me séduit
    J'entre en bataille par ce conduit

    Ainsi va ma haine
    Pour que périsse ma peine....

     

     

    (Ecrit perso...ne le volez pas merci)


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  •   Quand jaillit la nuit je ferme les yeux
    Je crains la mise en lumière de mes aveux

     

    Ceux qui restent enfouis tout le jour
    Et qui non cessent de me hanter pour toujours
    Quand tombe la nuit sur mes envies
    je contemple ceux qui peuplent ma vie
    Et je les entends encore me dire
    Qu'il faut croire en l'avenir


    Quand tombe la nuit le poids de mes paupières
    Comme un rideau se ferme sur hier
    oui je veux bien croire en demain
    Et attraper au lointain cette main
    Quand tombe la nuit à la fin du jour
    Je repense encore à ce petit bonjour
    Que ce matin cet inconnu m'adressait
    Et qui inconvenu me paraissait

    Une pareille nuit de solitude
    Qui est devenue une habitude
    Mon coeur ne peut retenir
    Cette langueur de soupirs
    Oui clair de lune inspire moi
    Redonne à ma vie cet émoi
    Qui dès demain au petit jour
    Fera naître enfin l'amour

    Oui je n'ai cesse de croire en la vie
    Tout pourtant m'en redonne l'envie
    Je crains que ma vie quelque peu dissipée
    Ne devienne l'ombre d'une mort anticipée


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  • ¨˜"°º••º°"˜¨¨¨˜"°º••º°"˜¨¨˜"°º•º°" ˜ ¨¨¨˜"°º••º°"˜¨¨˜"°º•

    A l'aube d'une vie, les yeux encore à demi clos
    Un enfant est pour les siens un véritable cadeau.

    Le long chemin qui l'a mené à la vie
    Est un sentier aux allées bien fleuries


    Rivière ombragée parsemée de couleurs
    Tout est parfait pour une issue sans douleur

    A l'aube de son enfance pour effleurer l'amour
    il approche le monde qui semble de velours

    Mais avant le commencement s'il pouvait savoir
    S'il pouvait connaître ce qu'est le désespoir
    Tous les visages gris de la vie
    Les illusions fanées, les espoirs détruits

    Toutes les larmes, les angoisses, les peurs du lendemain
    Toutes les joies éphémères et les efforts vains.
    Avant le commencement s'il pouvait imaginer...
    Voudrait-il commencer?

    Il aimera mais en aimant il n'aura pas la bassesse
    De toumenter l'objet qui le blesse

     

    Empire superficiel
    Tombe d'êtres fatalistes
    Osez l'essentiel
    Fuyez les matérialistes

    Chaque pas dans la vie est un pas vers la mort
    chaque soupir estompe un remord.
    Respirez, aimez, retrouvez cette enfance
    Là où tout commence

    Espèrez poursuivre
    vous aimerez vivre....

    ¨˜"°º••º°"˜¨¨¨˜"°º••º°"˜¨¨˜"°º•º°" ˜ ¨¨¨˜"°º••º°"˜¨¨˜"°º•


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